Des machines tactiles qui ont révolutionné le jeu portable : Test de la famille Nintendo DS

Déjà 5 ans… 5 ans que ce site est né du fruit de mon imagination débordante d’idées et d’envie de partager mes souvenirs et la culture des « vieux » jeux vidéos. Ça semble si loin… C’est en me faisant cette réflexion et en écumant à nouveau ma collection que j’ai croisé leur(s) écran(s)… À l’époque de la création du site, elles étaient encore trop jeunes pour figurer dans ces colonnes, mais désormais, je peux les accueillir à bras ouverts : je parle bien entendu, de la phénoménale machine à cazu’ qu’est la Nintendo DS.

LA FAMILLE NINTENDO DSLe mastodonte à la 3D douteuse

Si vous vous promeniez dans les boutiques de jeux vidéos ou les boutiques multimédia comme FNAC ou autre, vous vous souvenez sûrement de ces personnes toutes vêtues de t-shirts recouverts du logo Nintendo DS. Et devant elles, une petite queue de personnes prêtes à attendre pour essayer la bête. À ce moment là, vous aviez 3 dénouements possibles selon votre chance : soit vous n’aviez vraiment pas de chance et vous finissiez par vous taper Project Rub et son concept pas forcément prenant, soit vous aviez un peu de chance et vous tombiez sur la démo de Wario Ware à dérouler du P.Q, ou soit vous aviez une moule de cocue et vous tombiez sur la démo intégrale de Metroid Prime Hunter, celle qu’on finira par appeler : First Hunt et qui était un des « jeux » DS 3D les plus impressionnants à l’époque de la sortie de la console.

Perso comme j’étais juste méga intrigué par de la vraie 3D sur portable (c’est à dire pas en résolution dégueulasse comme sur GBA) j’étais le genre de mec à revenir le lendemain ou quelques jours après pour essayer à nouveau la démo de Metroid (*BAVE*) ou pour essayer celle de Project Rub ou de WarioWare, tout en espérant que les chargés de relation Nintendo ne me reconnaissent pas. Quelle claque ça a été, de pouvoir jouer à un FPS 3D sur console portable avec un confort digne d’un combo clavier souris. (J’exagère pas hein, c’était vraiment super confort à l’époque).
Il fallait absolument que je la possède, après ma Gameboy Pocket verte qui m’avais hypnotisée et ma Game Boy Advance blanche qui m’avait accompagnée des heures et des heures entières. Compte tenu de ça, la Nintendo DS ne pouvait être qu’une bombe portable.

Quand j’ai enfin fini par mettre la main sur le pack Nintendo DS + Metroid Prime Hunter : First Hunt (je voulais absolument cette première édition, compte tenu du fait que Metroid Prime Hunter, le vrai jeu, arrivera très longtemps après), j’étais vraiment aux anges en tant que gosse. Avec mon meilleur ami, on a écumé la démo de Metroid en multi pendant des heures (Enfin… Pendant 2 ou 3 heures, on fait vite le tour), on a tapé des barres sur Pictochat, l’application de discussion instantanée intégrée à la console, à essayer de dessiner la plus belle merde ou la plus belle b***… Que des bons souvenirs.

Mais bon, assez parlé de souvenirs, regardons un peu ce qu’il en est de cette imposante Nintendo DS.

La Nintendo DS Tank : La première d’une looongue série

Première édition de la console portable, la grosse Bertha comme j’aime l’appeler, avait énormément d’avantages le jour de sa sortie : Console « compacte » à charnière et à batterie, contrôles au stylet, à la dragonne ou au Pad classique, doubles-écrans pouvant afficher de la 3D (sur le papier, mais on y reviendra déjà…), son stéréo Surround sur console portable, rétro-compatibilité avec les jeux Game Boy Advance, compatibilité Wi-fi pour jouer en multijoueur, fonction de téléchargement pour jouer jusqu’à 8 en multi en ayant qu’une seule cartouche… La Nintendo DS vend du rêve quand on voit les prospectus et les publicités, mais le contrat est-il véritablement rempli ?

On va pas tourner autour du pot, bien sûr que oui, la batterie tient très bien la route, les possibilités de Gameplay sont infinies et on peut enfin se taper un multi à 4 ou plus, sans câble p**** ! Alors, bien sûr, il y a bien des défauts, comme sa couleur grise très très sensible et qui se raye comme pas possible, son écran tactile qui, s’il n’est pas protégé, devient opaque, et sa charnière, qui se casse à la moindre chute… La mienne et ses années au compteur en a fait les frais, elle est dans un état très proche de la retraite, j’ai juste réussi à préserver l’écran.

Tout se passait bien dans le meilleur des mondes, mais voilà, seulement un an plus tard, j’allais prendre la douche froide. Nintendo annonce la petite sœur, qui gomme selon eux tous les défauts de la première DS… Tous les défauts ? Comment ça des défauts ?…

La Nintendo DS Lite : Le modèle devenu l’indispensable

J’étais juste vert de rage le jour de l’annonce, seulement un an sur le marché et déja un modèle successeur. Dans ma tête de mioche c’était déjà plié : elle est juste plus fine et bénéficie d’un autre design, plus élégant, pas la peine de se faire chier à vendre la Bertha et attendre pour se la procurer, je reste avec mon gros tank tout moche qui sort les jeux tout pareil.

Mon histoire avec la DS aurait pu s’arrêter ici… Mais non. Mon frère, alors à l’université, avait acheté, dans le but de se détendre un peu entre 2 séances de révision, une DS Lite noire laquée. « Mec elle est trop bien, c’est le jour et la nuit ». Ah bon ? Mais comment c’est possible… Elle est juste plus petite, je ne comprenais pas… Puis un jour, il l’a ramène chez mes parents, et on a pu comparer… Pire décision EVER !

C’est simple, j’ai compris à cet instant qu’entre ma grosse Bertha et moi, plus rien ne serait comme avant. La DS Lite avait un atout majeur plutôt incroyable : ses écrans. Ils n’étaient pas plus grand, ça non, mais ils étaient dotés d’une colorimétrie nettement plus juste et d’une luminosité à couper le souffle. C’est simple, sur 4 niveaux de luminosité, le plus faible est celui qui équivaut à la DS tank. Il était enfin possible de jouer dehors en pleine lumière sans devoir plisser les yeux !!

Et là… J’étais dans la merde ! Impossible de revenir en arrière sans avoir cet arrière goût de pisse dans la bouche… Et c’est à ce moment là que j’ai découvert une facette de mon frère que je ne connaissais pas… Il aimait bien être à la page pour être à la page, et par chance pour moi, il s’est assez vite lassé de sa DS Lite (malgré le R4, faut le faire) qu’il a finit par laisser chez mes parents, à la merci de mes petits doigts lassés de la grosse Bertha.

À partir de ce moment là, j’ai redécouvert mes jeux, qu’est ce que j’avais été con pour négliger à ce point, la force de cette nouvelle mouture. Contacte, belle, lumineuse et légère, elle s’imposait comme le modèle indispensable pour parcourir la ludothèque, DS comme Game Boy Advance puisqu’elle reste rétro-compatible (même si son pire défaut sera de perdre la dragonne qui rayait l’écran, mais qui était pratique à mort sur les FPS !)

Et c’est ici que, fort de mes centaines d’heures de jeu sur cette console, mon histoire avec la DS s’arrêtera… Pour laisser un vide de plus de 15 ans avant que je retombe par le plus grand des hasards sur cette famille incroyable qu’est la famille NINTENDO DS

La Nintendo DSi : Le modèle qui voulait pas être à la traîne

Nous sommes en 2009, l’Iphone 3G ainsi que les jeux de l’Apple store sont déjà sortis en pagaille, l’Iphone 3GS allait sortir cette même année et la Nintendo DS Lite soufflait déjà sa troisième bougie. Voyant l’engouement pour les stores d’application et les appareils photos de téléphones portables, Nintendo s’est sûrement dit que c’était pas une grosse connerie que d’essayer de faire tout pareil.

Du coups, on prends les mêmes et on recommence : On prend une DS Lite, on rajoute 0,25 pouces sur chaque écrans, un appareil photo devant, un derrière, un navigateur internet et un store d’applis ou télécharger de nouvelles applis ou petits jeux savamment appelés : les DSi Ware

La console ressemble esthétiquement vraiment à sa grande soeur, c’est peut être pour ça que je m’en battait royalement les cou***** à la sortie de cette pâle copie de la DS Lite… J’ai donc passé mon chemin… Jusqu’à il y a quelques mois…

Il y a 2 mois, je découvre un twitcher qui répare en stream des consoles et des fois les revends après les avoir remises a neuf (CabriDIY pour ceux qui seraient intéressés). C’est alors que je vois dans sa boutique une DSi rose nettoyée à pas cher. Je me dis que ça peut être drôle, je suis un gars qui collectionne des consoles portables, j’ai pas trop de couleurs dans ma collec’, j’achète donc. Et me voilà reparti pour un voyage dans le monde fantastique de la Nintendo DS. Entre temps, le monsieur m’informe qu’il avait l’intention de la passer en rouge, j’accepte et me voilà avec une Nintendo DSi rouge mate dans les mains.

Et alors ? Bah, le store DSi étant fermé, pas moyen de mettre la main sur les appli DSi (je vous ferais surement un article là-dessus quand j’aurais « Tipiaké » tout ça), il ne me reste plus que quelques applis pré-installées par défaut : L’appareil photo, le studio son, le navigateur internet et Flipnote, un logiciel permettant de réaliser des séquences animées à partir de dessins. (les trucs qui s’animent quand on tourne très vite des pages). Bon, inutile de vous dire que le studio son, utilisant le micro de la console est amusant juste deux minutes et que les appareils photos sont DE-GUEU-LASSES !
Reste plus que les jeux DS, et seulement les jeux DS, car à partir de maintenant, il faudra faire une croix sur la GBA, et ça c’est tout pourri par contre…

Et là, bah… C’est tout pareil… On prend une DS lite à côté, aucune foutue différence à part 0,15 pouces en plus sur les deux écrans. Donc on est en droit de se poser la question suivante : Pourquoi passer de la DS Lite à la DSi ? Bah… Pour rien Jean-Kevin, il y a pas besoin, surtout au vu des prix pratiqués sur le store DSi (il fallait compter entre 5 et 7 euros pour un petit jeu). Enfin, bref, c’était juste un moyen pour Nintendo d’essayer de ne pas être trop daté et de garder une image de produit moderne, en essayant en passant de gommer les liens avec le passé en supprimant la rétro-compatibilité GBA. Tout aurait pu s’arrêter ici une nouvelle fois pour Nintendo, mais ils avaient encore une dernière petite idée en tête… Une dernière très bonne idée en fait…

La Nintendo DSi XL : Le modèle ultime

Dans son dernier souffle avant de, 1 an plus tard, passer le fambeau à la 3DS, la famille DS nous honorera d’une dernière nouvelle venue : La DSi XL… Alors, bon, je vais vous avouer un truc, je vous ai menti. Mon retour à la famille DS ne s’est pas fait au détour d’un stream avec la DSi, fort heureusement, j’en aurait été un peu déçu. Non, il s’est fait au détour… d’un Cash Converter.

Il y a 3 ou 4 mois, en vadrouille pendant ma pause déjeuner, entre mon boulot et un foodtruck, je décide de m’arrêter dans le cash Converter du coin, qui sait, je pourrais peut-être y trouver une pépite à pas trop cher (je cherchais une PSP 3000). Et là, je l’ai croisée : Bordeau, laquée, aux écrans presque miraculés, juste un tout petit poil maltraitée et à peine utilisée par son ancien propriétaire, surement un gosse de riche qui s’en foutait d’avoir reçu une DSi XL, et qui m’a laissé en ultime photo, un gros fuck en gros plan, et en ultime enregistrement sonore, un beau « ta mèèèèère », que j’ai pris soin de garder.

Passé ces détails que j’ai trouvé rigolos, j’ai pu me pencher quelques dizaines d’heures sur la console depuis son acquisition, et le constat est sans appel : C’est le MEILLEUR modèle de DS jamais conçu. Les écrans sont immenses (4,2 pouces au lieu de 3,25 (Dsi) ou 3,10 (DS Lite), la prise en main est excellente, la qualité de son et la puissance des hauts-parleurs sont bluffants, la batterie est endurante, bref, elle a tout pour elle.

Alors oui, les cancres du fond comme Jean-Kevin me rétorqueront : « Tu dis trop de la merde, le mieux pour jouer aux jeux de DS c’est la 3DS XL, elle est encore mieux et elle lit les jeux 3DS », ce à quoi je leur répondrais : « TG tu dis de la merde, retourne faire dans tes couches ».

En effet mes chers lecteurs, j’ai appris une chose assez méconnue : Il vaut mieux jouer à ses jeux DS sur DSi XL que sur toutes console de la famille 3DS/2DS, et ce constat tient en un seul mot : Anti-aliasing ! (ou anti-crénelage pour les plus fervents défenseurs de la langue française). En effet, Nintendo a trouvé bon de faire en sorte que la 3DS puisse émuler la DS tout en y ajoutant cet anti-crénelage lissant toutes les textures et contours pixelisés des jeux DS.

Résultat ? Sur 3DS XL et même sur 2DS (qui a un écran bien plus petit), on a une vieille impression de flou sur les écrans, ce qui fait que c’est vraiment tout dégueulasse à regarder. J’ai testé le dernier Zelda de la DS (Spirit Tracks) sur mes 2 consoles, et pas moyen de revenir à la 3DS XL après avoir goutté à la DSi XL, croyez moi.
Tout ce pavé pour dire : Si vous voulez jouer à la DS en ayant la meilleure expérience, jouez-y sur DSi XL.

La Famille Nintendo DS – Et les jeux dans tout ça ?

C’est bien beau une belle console, mais sans bons jeux, bah… ça donne un destin comme celui de la PS Vita (Attention, je ne dis pas que PS Vita n’a pas de bons jeux, c’est une console que j’apprécie beaucoup). La Nintendo DS est la console de Nintendo la plus vendue de tous les temps, et c’est pas pour rien : Elle a initié le mouvement de Nintendo vers le grand public, et qui dit grand public, dit jeux grand public.

Et jeux grand public, ça veut dire gros budgets d’un côté, mais aussi bonnes vieilles grosses merdes de l’autre, et il faut bien dire que la DS se trimbale une sale réputation de console poubelle aux jeux Eco+. Et il n’y a pas à tortiller du cul pour chier droit : La Nintendo DS compte plus de bons vieux étrons que de jeux très stylés

Pourquoi ça ? Parce que, encore une fois, qui dit grand public, dit licences grand public : Bienvenue chez les Ch’tis, Secret Story, À prendre ou à laisser, Plus belle la vie ou encore Techtonik World Tour, des licences déjà pas reluisantes qui ont marquées au fer rouge la DS avec des jeux vraiment très médiocres, voire honteux.

Et ça c’est qu’une infime partie des titres complètements pétés de la Nintendo DS, mais maintenant que la console n’est plus d’actualité, on peut commencer à se pencher uniquement sur les meilleurs titres de la console, et là aussi, il y en a pas mal, et pour tous les styles :

À ce qu’il y a sur l’image ci-dessus, s’ajoutent les Advance Wars, Wario Ware, les Professeurs Layton, Trauma Center, Phoenix Wright, Final Fantasy, les Nintendogs (pour les cazu’), les Pokemon, Animal Crossing, GTA chinatown Wars, Metroid Prime Hunter, Fire Emblem ou encore Chrono Triggers. Bref, il y a de tout sur Nintendo DS, à vous de faire le tri entre la belle et le clochard.

Mais alors qu’est ce qui explique que votre mamie Jeannine vous mettait la nique quand elle sortait la toute dernière DSi XL bordeau de son sac à main en croco alors que vous vous trimbaliez encore avec votre grosse Bertha grise toute rayée ?
C’est simple mais redoutablement efficace : Les logiciels typés intellects et « éducatifs »



Il ne faut pas aussi oublier tout ce pan de la ludothèque de la console, car nombreux sont aussi les frères d’armes gamers qui ont dû périr sur le champ de bataille… Mais oui, vous savez, ces frères d’armes joueurs qui ont reçu « English Training : Apprendre L’Anglais » à la place d’un FUCKIN’ « Metroid Prime Hunter » à Noël. Moi à leur place… Bah j’aurais dû apprendre l’anglais bien plus tôt, mais au lieu de ça, j’ai reçu Mario Kart DS et j’ai pu mettre des fessées en multi. Faut dire que ça sert bien plus dans la vie de savoir mettre des fessées en série sur Mario Kart…

Bref, entre les logiciels type cahiers de vacances, ceux pour apprendre les langues, ceux pour entraîner son cerveau, ceux pour passer son code de la route, ceux pour apprendre à chier droit et ceux pour apprendre à cuisiner, il y en avait vraiment pour tous les goûts, et puis ça permettait de vendre un Animal Crossing à mamie Jeannine entre deux séances d’Allemand. (Honnêtement, qui a tenu plus d’un mois sur ces logiciels éducatifs…)

La famille Nintendo DS et son plus gros défaut : La 3D douteuse.

La Nintendo DS est une console portable qui fait un quasi sans faute d’apparence, avec ses deux écrans, son autonomie, son gameplay hybride et son catalogue qui compte des titres de dingos (même s’il y a pas mal de merdes aussi). Mais rien ni personne n’est parfait, et comme on est pas dans le pays des bisounours, il y a forcement un furoncle au tableau : La puissance graphique de la console.

Alors oui, Jean-Kévin me dira qu’il y a toujours eu une différence graphique entre les consoles portables Nintendo et ses concurrentes, la pire d’entre elles ayant été jusqu’à la DS, le duel Game Boy VS Game Gear (la Game Boy Advance étant seule maître à bord à son époque). Mais pour moi, la pire des confrontations technologiques sera celle de cette génération de console portable : Nintendo DS vs PlayStation Portable (PSP)

Alors oui, la PSP n’arrivera pas à la cheville de sa concurrente au niveau de ses ventes, mais au niveau technologique, la Nintendo DS sera atomisée comme jamais une console portable Nintendo n’aura été larguée. C’est simple, la 3D sur Nintendo DS, mis à part pour certains rares titres (Metroid, Mario 64DS, Mario kart DS en gros) c’est de la merde : Les textures sont vraiment basiques, souvent étirées, les modèles sont très « polygoneux », et les environnements souvent vides.

En somme, même si le framerate est la plupart du temps constant, la 3D est vraiment rebutante sur la console. Et quand on compare deux jeux similaires sur la DS et la PSP, quiconque ne connait pas la ludothèque de la DS choisira sans hésiter la PSP. Voyez plutôt, Need For Speed Most Wanted ou Burnout Legend sur Nintendo DS puis sur PSP :

Bref, privilégiez largement les titres 2D sur la console de Nintendo, car c’est un domaine où elle excelle, et si vous voulez découvrir les titres 3D quand même, restez sur les valeurs sûres pour ne pas vomir sur votre Nintendo DS : Mario 64 DS, Mario Kart ou Metroid Prime Hunter.

Vous l’aurez compris, malgré ce dernier point un peu contraignant, la Nintendo DS est une excellente console, avec un hardware original, élégant et résistant. Elle compte aussi beaucoup d’excellents titres, dont certains font parti des meilleures séries du moment, et surtout, il y a pour tous les goûts : Jeux de gestion, FPS, Puzzle Game, action, aventure, RPG, logiciel éducatifs. Nintendo a réussi avec sa DS, à rentrer dans la plupart des foyers et à changer à jamais la vision du grand public sur le jeu vidéo, et rien que pour ça, c’est une famille de console exceptionnelle.

À partir de maintenant, des titres Nintendo DS (et DSi Ware) pourront se glisser dans ces colonnes.Vous avez hâte de les lire ? Ne cherchez plus, et rejoignez dès maintenant le Twitter et l’Instagram d’Oldies Boy !. Et si vous ne voulez pas attendre le prochain article, sachez qu’il reste plus d’une trentaine de tests et articles qui n’attendent que vous sur le site 😉

3 réflexions sur “Des machines tactiles qui ont révolutionné le jeu portable : Test de la famille Nintendo DS

  1. Stylet contre écran = Orgasme 1 Mai 2021 / 11 h 49 min

    Un mec, une nana :
    – Ton père travaille chez Nintendo ?
    – Non, pourquoi ?
    – T’as un corps de DS…

    LOOOOOOOL

    Sinon, très sympa ce test : C’est comme si tu avais mis toutes les DS dans une arène et que tu leurs à demander de se défoncer la gueule pour prouver leur valeur !
    C’est évidemment celles qui ont les plus gros écrans et une meilleur définition qui ont une plus grosse paire de c…

    On sent que tu rageais grave à l’approche d’un nouveau modèle n’empêche. Tu essayais de rationaliser le fait que c’était juste du marketing sans réels ajouts et que tu pouvais garder ton modèle actuel mais 15 ans plus tard, lolilol, tu les as presque toutes !
    Gros jaloux va.

    Sinon très sympa les photos et autres captures d’écrans !

    Et ouiiiii, que de souvenirs sur Metroid First Hunt…
    Je tairais la manière dont cette première console fut obtenu héhé…

    A quand un test sur ma petite chérie ? La Gamecube ?!
    Il y a l’onglet dans ton site mais zéro article ! Remboursé !!

    Bisous

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