Un jeu qui complote : Test de Splinter Cell : Chaos Theory sur Nintendo DS et Nokia N-Gage

Ça vous est déjà arrivé de repenser à un jeu de votre enfance que vous trouviez trop bien ? Forcément, c’est arrivé à tout joueur qui se respecte. Tout était trop bien : Les graphismes, le gameplay, la musique, bref, comment ne pas aimer ce jeu. Maintenant, qui d’entre vous a déjà retesté ledit jeu ? Parce que quand on en vient à retester un tel jeu, on peut aboutir sur deux choses : Soit la satisfaction d’avoir pu remettre la main sur un super titre, soit la douche froide quand on se rend compte qu’on a idéalisé ce qui est au mieux un jeu bateau, au pire un étron de girafe. Et si je suis là aujourd’hui, c’est parce que j’ai abouti sur l’une de ses deux conclusions. Quoi qu’il advienne désormais, il y a de fortes chances qu’on se fasse au moins un peu chier.

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Un jeu qui permet beaucoup de choses : Test de Les Sims Permis de Sortir sur N-Gage/Game Boy Advance

Cover Bustin out

Cher journal, papa m’a encore puni parce que j’ai vu ce garçon ! Franchement ! J’ai 14 ans et je n’ai même pas le droit de sortir avec qui je veux ?? On est en 2004, faudrait évoluer quand même ! Arg ! j’le déteste quand il me punit… Heureusement, il n’a pas trouvé ma N-Gage et ma Game Boy Advance ! Avec elles, je peux tout faire et j’ai même permis de sortir ! A moi les rues de Simvalée. Lire la suite

Un jeu qui nous mine : Test de Red faction sur N-Gage/N-Gage QD

Cover post 2015 04 11

Après le big dossier sur notre chère N-Gage, il est temps de s’attaquer un petit peu à certains « classiques » de la console où on parle de côté. Je parle de « classique » car je pense que ce jeu a dû rester comme une « curiosité » (ou une probable grosse merde) pour ceux qui avaient entre-aperçus la ludothèque de la console. Mais au final, le GeoMod ne lui aurait-il pas permis de creuser sa propre tombe ?

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Une console mort-née : Nokia N-Gage / Nokia N-Gage QD

Cover post NGAGE 2015 04 03

La naissance d’une console prometteuse

Il fut un temps où, lorsqu’on évoquait le doux nom de Nokia, on se sentait regardé et envié, presque respecté. Que vous ayez un 3210, 3310 ou un Xpressmusic, tout le monde savait que vous étiez «In ». Nokia, en haut de l’affiche, sortait une vingtaine de téléphones à l’année, tous ayant un design propre, soit bizarroïde (Nokia 7600,7280), soit élégant (Nokia 7070 Prism, 7205) ou même très pratique (Nokia Xpressmusic). A cette époque, le géant ne redoute rien ni personne, ni même un nouveau marché. C’est alors que Nokia entamera sa douce décente vers une mort lente mais fière… Lire la suite